Lors d’un salon du livre auquel j’étais invité dans une ville de province, ma voisine, ancienne danseuse de revue et auteur d’un thriller, me demanda ce qu’à la longue j’appelai littérature.
Maurice Thorez (1900 - 1964). Entre l’oubli et l’ignorance Valère Staraselski présente le dossier de "La faute à Diderot" sur Maurice Thorez, à l’occasion du cinquantenaire de sa disparition. À une époque décisive pour la France, le Président Maurice Thorez a, à mon appel, et comme membre de mon (...)
Dans un texte paru dans Les Lettres françaises, Alain Badiou annonce la parution de Résurrection du communisme. Le propos y est essentiel. Concernant 1793, Badiou écrit très justement que les exécuteurs de Robespierre et de Saint Just "veulent la corruption". Et il ajoute : "ils veulent que soit (...)
Ma France L’effacement progressif de la nation menace aujourd’hui la démocratie écrivait Valère Staraselski dans un compte-rendu de La Raison des nations de Pierre Manent, spécialiste du libéralisme, ayant argumenté en faveur d’un non au projet du Traité constitutionnel européen en mai 2005. Pour ce (...)
Avant la nomination du Pape François, Témoignage Chrétien a demandé à un certain nombre de personnalités de dire ce qu’elles attendaient du nouveau Pontificat.
Mon premier engagement ressemble à un instinct. Il consiste en effet à demeurer vivant tant que des personnes dépendent de moi. Par ailleurs et de manière concomitante, si j’ose dire, à moi d’accomplir mon devoir en toutes occasions et faire ce qu’il faut afin de ne rien perdre de ma pleine intégrité (...)
Cycle de conférences par Valère staraselski au Maroc sur Jean de La Fontaine, à partir de son ouvrage Le Maître du Jardin, dans les pas de Jean de La Fontaine. Le 13 mars à Tanger, le 14 mars à Casablanca, e 17 mars à Fès.
Enfin une clairière dans la pensée française de notre temps ! Pour rendre intelligible notre époque, on dispose fort heureusement d’ouvrages tels ceux de Jean Claude Michéa ou bien encore de Bernard Vasseur qui, parmi d’autres, débroussaillent si bien ce terreau qui compose aujourd’hui notre société (...)
Avec les 900 pages que Dmitri Bykov consacre à Pasternak, le lecteur est non seulement plongé dans la vie littéraire de plus de quarante années d’URSS, mais dans la vie soviétique elle-même avec une rare intensité. Le récit linéaire et très fouillé de l’existence de (...)
Qui n’a pas lu les œuvres d’Alexeï Pechkov dit Maxime Gorki manque un continent entier, celui de la littérature russe car c’est sans doute chez cet auteur, ainsi que l’assure Alexandre Blok, que se donne le mieux à s’exprimer « ce je ne sais quoi d’immense, de vaste, de nostalgique, cette terre promise (...)