Cracovie, au cœur de l’Europe : durant la visite d’une galerie de peintures, de jeunes français rencontrent un vieillard insolite portant nœud papillon en laine et canne à pommeau. Il se tient immobile devant un tableau représentant des cigognes. Qui est cet homme si irradiant d’énergie ?
Au travers d’un récit bouleversant, le vieil homme témoigne de son expérience dans un pays jadis asservi par les nazis. Il livre cette part de vérité sans laquelle il n’est pas de liberté possible. Cette vérité irréparable qu l’on porte en soi pour toujours.
Valère Staraselski à la fête du Bois de la Croix Rouge
La Montagne-septembre 2017
Valère Staraselski à la fête du Bois de la Croix Rouge. A la suite du débat animé par Stéphanie Chassing lors de la fête du bois de la Croix Rouge, la parole a été donnée à l’écrivain Valère Staraselski dont l’exposé passionnant porta sur la nécessité, pour les partis politiques dont le Parti communiste, de (...)
"Cracovie, sang sur neige"
Jérôme Skalski L’Humanité-septembre 2017
Le Parlement des cigognes nous emmène dans la Pologne placée sous le joug du Troisième Reich. Après l’Adieu au Roi (2013) et Sur les toits d’Innsbruck (2015), c’est la rencontre d’un vieil homme au regard bleu que nous convie le dernier roman de Valère Staraselski, publié au éditions du cherche (...)
Jean-Claude Caillette Le lire et le dire-radio FPPlurielles
septembre 2017
Dans ce court roman, Valère Starasaelski met en scène le choc entre un groupe de jeunes français en séminaire à Cracovie et un vieil homme contemplant un tableau où s’ébattent des cigognes et qui raconte les horreurs dont il a été témoin et victime pendant la dernière guerre en tant que polonais juif. (...)
Bernard Gensane
Mediapart- 4 septembre 2017
On a plaisir à lire Staraselski, son écriture concrète, directe, expressionniste : "Au matin, derrière les hautes et doubles fenêtres de l’hôtel, toutes garnies de lourds rideaux festonnés, le jour n’en finissait pas de se lever. L’aube durait. On aurait dit qu’un reste de nuit gisait au dehors. (...)
Giovanni Merloni
survivre aux siens, une vie de détresse sans fin ! Le site "Le portrait inconscient"
31 août 2017
un extrait du dernier roman de Valère Staraselski - "Le Parlement des cigognes" publié au cherche midi."...survivre aux siens, c’est une vie de détresse sans fin !""... Je peux vous dire que dans le ghetto, à l’intérieur, les jours, les nuits étaient lourds, infiniment pesants, parce que nous (...)
Interview de Valère Staraselski par Jean-Claude Caillette FPPlurielles 106.3FM - 30 août 2017
Dans ce court roman, Valère Staraselski met en scène le choc entre un groupe de jeunes français en séminaire à Cracovie et un vieil homme contemplant un tableau où s’ébattent des cigognes et qui raconte les horreurs dont il a été témoin et victime pendant la dernière guerre en tant que polonais juif. (...)
Giovanni Merloni - "La beauté du vivant" Le site "Le portrait inconscient"
29 août 2017
"Le Parlement des cigognes" de Valère Staraselski vient juste de sortir dans les librairies. Il sera sans doute l’un des textes les plus convoités de la rentrée littéraire 2017. Pour ne pas en gâcher la découverte et pour éviter que le dévoilement de sa trame et du caractère de ses personnages soit reçu (...)
Josette Balanche - Une poignante leçon d’histoire L’écho du centre
28 août 2017
... Cracovie 2017 : A l’occasion d’un stage de perfection, douze jeunes français se retrouvent pour un séjour en Pologne. Ils ont tous moins de 25 ans et sont "censés devoir s’essayer à déjouer les nombreux pièges que renferment les métiers de l’hôtellerie et à renforcer leurs bases." A leurs yeux, tout (...)
Nathalie Gendreau Le site Presta Plume
24 août 2017
« En quête, en attente de voir les cigognes, de redécouvrir leur beauté lente, leur beauté immobile, la beauté simple des cigognes... Chaque fois, aujourd’hui encore, je suis émerveillé, porté par un enthousiasme sans bornes pour ces oiseaux ! Je puis affirmer qu’elles m’ont tenu en vie dans le malheur. (...)
Lucien Wasselin Le site La faute à Diderot
22 août 2017
C’est un court roman qu’offre au lecteur Valère Staraselski : une bonne centaine de pages ! Un court roman qui commence étrangement avec l’élection de la reine de Cracovie dans un bar à lait par un groupe de jeunes français en stage de perfection à la demande du nouveau PDG du groupe qui porte un nom (...)