Qui ne connaît pas les Alpes ne connaît pas la beauté du monde. Pour Katerine Wolf, randonneuse passionnée, il y a un paradis sur terre. Celui-ci se trouve dans les Alpes d’Autriche, là où hommes et animaux vivent ensemble depuis longtemps en harmonie avec la nature. Dans le Tyrol exactement. Parmi les monts qui surplombent les villes d’Innsbruck, de Hall et des villages alentour...
La rencontre de cette jeune femme née en Allemagne de l’Est l’année de la chute du mur de Berlin, avec un autre randonneur, Louis Chastanier, Français, expert en bois, lui réserve quelques surprises, dont l’anticonformisme de ce dernier ou la découverte d’un chevreuil blessé ne sont pas les moindres.
Quand un marcheur croise un autre marcheur, qu’est-ce qu’ils se racontent ? Des histoires... d’aujourd’hui ! Avenir de la planète, des êtres qui y vivent comme de la végétation. Époustouflants paysages du Tyrol qu’agrémente le son magique des clarines du bétail dans les alpages... La montagne, nature inexpugnable, resterait-elle un des seuls refuges possibles dans un monde de plus en plus brutal et promis à des catastrophes économiques, sociales, écologiques ?
En célébrant la nature, ce roman la fait aimer davantage. Sur les toits d’Innsbruck réussit ce tour de force de réconcilier tradition et modernité.
"Sur les toits d’Innsbruck", ce n’est pas le premier livre de Valère Staraselski sur lequel j’essaie d’exploiter un commentaire cohérent et fidèle. Avant de le lire, j’imaginais en avance, sur la base des lectures précédentes (Le Maître du jardin, dans les pas de La Fontaine , Un homme inutile, L’ Adieu (...)
Valère Staraselski est un écrivain et un journaliste reconnu. Spécialiste d’Aragon, il a son actif une bonne vingtaine de livres, des romans, des essais et des recueils de chroniques. Son dernier roman, Sur les toits d’Innsbruck, est, sans conteste le meilleur qu’il ait donné à ses (...)
Louis Daufresne présentateur de l’émission "Le Grand Témoin" a reçu Valère Staraselski pour son nouveau roman "Sur les toits d’Innsbruck"publié au cherche midi. Convivialité, esprit critique sur l’actualité sont les maîtres mots de cette émission. (...)
Quand un marcheur croise un autre marcheur, qu’est-ce qu’ils se racontent ? Des histoires... d’aujourd’hui ! » Katerine Wolf, jeune femme née en Allemagne de l’Est le jour de la chute du mur de Berlin, adore randonner dans les Alpes autrichiennes, très exactement en Tyrol, à Innsbruck. Les sentiers (...)
Katerine Wolf, jeune femme née en Allemagne de l’Est l’année de la chute du mur de Berlin, est une randonneuse passionnée qui ne s’épanouit que dans les Alpes autrichiennes. Le pays qu’elle aime. Parmi les monts qui surplombent la ville d’Innsbruck. C’est là qu’elle se ressource, vibre avec la nature et (...)
Car au fond "Sur les toits d’Innsbruck" c’est une fable. C’est une fable qui montre que la montagne est peut-être le dernier refuge contre une société qui produit du désespoir.
Avec son 8ème roman, « Sur les toits d’Innsbruck » Valère Staraselski, au travers de l’histoire d’un jeune couple, met en lumière et en musique les ravages humains et gouvernementaux. Valère Staraselski s’essaie à la fable environnementale. Avec brio, « Sur les toits d’Innsbruck », son huitième roman, (...)
Invité de l’Humanité.fr, Valère Staraselski s’est rendu à la rédaction du journal pour nous parler de son dernier roman "Sur les toits d’Innsbruck". Il nous décrit son amour pour la nature et la montagne comme un refuge face à un monde toujours plus brutal et promis à des catastrophes économiques, (...)
Valère Staraselski nous offre un nouveau joyau à travers un jeu de miroirs entre la montagne, comme rassemblement de la totalité de la nature, de ce qu’elle livre et de ce qu’elle dit de nous-mêmes, et le marcheur, celui qui la parcourt tout en se parcourant. L’ascension « Sur les toits d’Innsbruck » (...)
On n’entre pas facilemement dans ce court roman. La description des montagnes autrichiennes, toujours en noms allemands et liste de remontées mécaniques, pourrait nous arrêter dès la première page. Mais ensuite on se laisse prendre par ce ton très particulier, toujours un peu distant, qui ne (...)